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— Bien, bien. Je dégrafe mon corsage et je sors ces deux petites colombes que tu baises et têtes. Sainte Vierge, que c’est dur et doux de telles leçons !

— Claire, Claire, qui le saurait !

— Moi et toi. Laisse mes seins, tu les as assez baisés. Je te caresse les joues, je me renverse en arrière, tu dis : « Amour, amour, où es-tu, je désire. » Répète.

— Amour, amour, où es-tu, je désire.

— L’amour, l’amour est là, est là, vois le temple où il réside, et baise la porte de l’oubli terrestre, baise… tu as compris.

Couchée en arrière, les jambes écartées et en avant, les jupes ramassées sur la ceinture, elle présentait son conin, et il le baisait, léchait le clitoris.

— Assez, assez, dit-elle, se dressant debout et repoussant ses jupes, ne me retiens pas et finissons la leçon, l’heure s’écoule. Si tu veux jouir, parle, dicte ton caprice, sauf la possession, même par la bouche, et mon action t’aidant, mon corps est à toi.

— Que me reste-t-il ?

— Le toucher et la vue.