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Déjà la langue d’Olympe était repartie sur les fesses d’Irène et celle-ci reprenait sa posture.

Que se passait-il dans l’esprit de Stanislas ? Sa jeune sœur lui offrait son cul et la surface qu’il contemplait, lui montrait qu’il y avait à caresser.

La volupté ne dirigeait-elle pas toutes ses actions depuis son mariage avec Irène. Les divans s’allongeaient à la suite les uns des autres, les robes des femmes gisaient au milieu, ses vêtements les rejoignirent, et il vint lécher le cul d’Olympe.

Léchant et léchée, celle-ci se contorsionna et balbutia :

— Ah, nous y montons au Paradis, ah, quelle bonne idée, Stani ; ah, Irène, Irène, il me rend les caresses que je te fais !

Elle caressa avec plus de frénésie les fesses d’Irène, qui les tortilla davantage : imitant ce mouvement avec les siennes, Olympe favorisa Stanislas de sa pleine lune et les langues se multiplièrent dans leurs ivresses.

De temps en temps Stanislas, sur un baiser plus fougueux, se soulevait sur un coude, le cul d’Olympe se relevait pour le frapper au

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