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nislas et de Gabrielle qui s’étaient repris, se tenant amoureusement enlacés.

— Ah ! dit Irène à Déculisse, je crois bien que ma sœur en pince fort pour mon mari.

— Je ne l’ai pas moins baisée.

— Oui, en enlevant ta queue de mes cuisses, lâcheur.

— Nous pouvons recommencer la partie.

— Non, pas encore. Si on baise tout le temps, on s’arrêtera trop vite. J’ai envie de gamahucher ma sœur pour vous obliger à une sagesse mesurée.

— Enlève-la donc à Mohammed, qui n’a l’air de rien et qui ne tardera pas à la grimper, si ton mari a une distraction.

Irène louvoya, repoussa du dos Mohammed qui s’amusait à peloter Gabrielle, l’apprivoisant peu à peu et dit :

— Gabrielle, deux mots, viens par ici.

La jeune fille quitta Stanislas, accompagna Irène devant le tableau formé par Lucie, dévorant de feuilles de roses le cul d’Olympe, et murmura :

— Donne le tien, que je le mange ainsi.

— Quoi, tu veux Irène ?