pas. Attirée sur les genoux au milieu, par
son mari même, elle aperçut en face de son visage
les trois queues alignées, dont on lui faisait
remarquer les différentes structures, en
sollicitant de ses lèvres le rapide suçage, qu’elle
ne refusa pas.
Il ne fallait pas laisser Olympe et Gabrielle trop longtemps seules, pour ne pas s’exposer à ce que la réflexion refroidit leurs excellentes dispositions. Elle entraîna les hommes à sa suite, meute déjà affamée, courant sus à son cul et riant entre eux des pelotages qu’involontairement ils échangeaient, en franchissant les portes.
Dans la chambre d’Irène, le rut se déchaîna une fois de plus, avant qu’on put descendre dans les salons. Ce rut se prit au hasard, unissant encore Stanislas et Gabrielle, mais non plus les deux autres couples primitifs. Irène poussa Mohammed sur Olympe et attira à elle Déculisse.
On roula sur le tapis et les secousses, cherchant à se précipiter, des poses multiples animèrent les trois couples sur le milieu de la chambre où, rompant les enlacements, ils se livrèrent mutuellement à des satisfactions plus