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Olympe, il va s’étendre sur le divan, chacune de nous couchera la tête sur une de ses cuisses et nous nous amuserons quelques secondes à le sucer presque ensemble.

Étendu sur le dos, les deux femmes la tête sur ses cuisses, Stanislas vécut une minute inoubliable ; elles lui baisaient la queue, se la repassait de bouche à bouche, se pigeonnaient les lèvres collées au bord du gland, se chatouillaient mutuellement le clitoris, entrecroisaient leurs jambes, unissaient leurs seins.

Irène sentit que le gonflement de la queue annonçait le prochain paroxysme du plaisir, elle arrêta le jeu et s’écria :

— Maintenant, chéris, allez-y du baisage, rompez avec les préjugés, tirez un bon coup et prenez mon cul ou mes cuisses pour oreiller.

Elle les poussa dans les bras l’un de l’autre, Olympe, la tête appuyée sur le gras de ses cuisses, Stanislas attaqua sa sœur.

Les forces décuplées, après une rude chevauchée, où Olympe crut perdre le souffle, tant la sensation fut fougueuse, sans désemparer, il enfila Irène par dessus la tête d’Olympe, reprenant ses sens, et envoyant des coups de langue au con et aux couilles des deux amants.