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À remercier Marceline
Qui, dès que je pus bégayer,
M’enseigna sa langue divine
Avec son gentil Écolier.

Ô Douaisienne, ô mère, ô femme !
Reçois donc cet humble tribut,
Composé des fleurs de mon âme ;
Ne le jette pas au rebut.

Et que j’ajoute un mot encore
Qui sera le plus attrayant…
Répétons tous : Vive Valmore !
Répétons tous : Vive Gayant !


Adolphe Rosay.