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de peine. J’allai ensuite faire mes adieux à Madame l’Abbesse et à toutes ces Dames. Le lendemain, elles m’accompagnerent jusqu’à la voiture. Je m’attendris sur-tout, lorsque je donnai le dernier baiser à ma Bonne ; et je ne me consolai que dans l’espérance que j’avois de revenir, pour ne m’en séparer jamais.

Fin de la premiere Partie.