Page:Le Magasin des enfans - Tome 1.djvu/13

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l '. f 4 ~ ·: ' · · `~ — · 4 à l -*1 AVERTISSEMENT. · î de mon ouvrage. Cette crainte m’en Ht I suspendre lxmpressxou : il me fallait · d’autres juges ,· et je les ai cherches È Earnn mes écolières de 'tous les âges., . llesont toutes lu mon manuscrit. L en- f faut defi ans s’en est divertie aussi bien s que celles de ro et de t5. Plusieurs d’en- j ‘ ' tr’elles_; à qui je déses é1·ais de faire î t naître le g0ûÈPOUYl’éÈU€l;,8ll0Ht écouté » la lecture avec une avidité qui ne ine laisse rienà souhaiter , et qui me répond, X _ du succès. J e me- suis convaincue ab- 5 solmnent , par cette expérience , dÉune —; chose que je SOUPCGUHBIS. Le dégoût de · la plupart des enfans ur la lecture , t vient de la nature des lîrres qu’on leur met entre les mains; ils ne les com- l prennent pas ., et de-là naît inévitable- ment l’ennui. Je n’excepte aucun ou- vrage ,.quaud je porte cette décision. e _ Leszmiens , comme les autres , sont su- l jetsà cèt; inconvénient ; et je suis con- 5 trainte de les refondre lorsque je veux 2 les faire comprendre ,·u0n—seulement à aux enfans du premier âqe ,înais même . à ceux qui seraient capab es de les corn- È · prendreparfaitement,s’ilséta1entécrits l enanglais. Une fille de 15 ans 1 qui commence à apprendre le français , a besoin d’un style aussi simple qxfune v autre de 5 ans , qui lit dans sa langue ‘ ’ ' maternelle. Qu’0n Juge par-là de Penner I