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| CHAPITRE XL. | 387 |
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de Dieu sont la vérité même ; implore auprès de lui le pardon de tes péchés, et célèbre les louanges de ton Seigneur le soir et le matin
- Ceux qui disputent au sujet des signes de Dieu sans avoir reçu aucun argument à l’appui, qu’ont-ils dans leurs cœurs, si ce n’est l’orgueil ? Mais ils n’atteindront point leur but. Toi, Mohammed, cherche ton refuge auprès de Dieu, car il entend et voit tout
- La création des cieux et de la terre est quelque chose de plus grand que la création du genre humain ; mais la plupart des hommes ne le savent pas.
- L’aveugle et l’homme qui voit, les hommes aux bonnes œuvres et le méchant ne sauraient être égaux. Que les hommes réfléchissent peu !
- L’heure viendra, il n’y a point de doute là-dessus, et cependant la plupart des hommes n’y croient pas.
- Dieu a dit : Appelez-moi, et je vous répondrai, car ceux qui par orgueil se refusent à m’adorer entreront dans la géhenne couverts d’ignominie.
- C’est Dieu qui vous donne la nuit pour vous reposer, et le jour qui fait voir. Certes, Dieu est plein de bonté envers les hommes, mais la plupart d’entre eux ne lui sont pas reconnaissants.
- Ce Dieu est votre Seigneur, créateur de toutes choses ; il n’y a point d’autre dieu que lui ; pourquoi donc vous détournez-vous de lui ?
- Ainsi se détournaient ceux qui niaient ses miracles,
- C’est Dieu qui vous a donné la terre, pour fondations et la ciel pour édifice ; c’est lui qui vous a formés, et quelles admirables formes il vous a données ! qui vous nourrit de mets délicieux ; ce Dieu est votre Seigneur. Béni soit Dieu, le maître de l’univers !
- Il est le Dieu vivant, il n’y a pas d’autre Dieu que lui. Invoquez-le donc, en lui offrant un culte pur. Gloire à Dieu, maître de l’univers !
- Dis : Il m’a été défendu d’adorer les divinités que vous invoquez à côté de Dieu, depuis que des preuves évidentes me sont venues de la part de Dieu. J’ai reçu l’ordre de m’abandonner au maître de l’univers.
- C’est lui qui vous a créés de poussière, puis d’une goutte de sperme, puis d’un grumeau de sang coagulé ; il vous fait naître enfants, il vous laisse atteindre la force de l’âge, et puis vous laisse devenir vieillards. Tel d’entre vous meurt avant cette époque :
