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secrète que la mort seule devait briser et une amitié plus pathétique qu’un grand amour.

… À quatre heures, le lendemain matin, Firmin frappait à la porte de la petite chambre que j’habitais dans la cour aux pintades. Il faisait nuit encore et j’eus grand’peine à retrouver mes affaires sur la table encombrée de chandeliers de cuivre et de statuettes de bons saints toutes neuves, choisies au magasin pour meubler mon logis la veille de mon arrivée. Dans la cour, j’entendais Firmin gonfler ma bicyclette, et ma tante dans la cuisine souffler le feu. Le soleil se levait à peine lorsque je partis. Mais ma journée devait être longue : j’allais d’abord déjeuner à Sainte-Agathe pour expliquer mon absence prolongée et, poursuivant ma course, je devais arriver avant le soir à la Ferté-d’Angillon, chez mon ami Augustin Meaulnes.