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mieux), les autres[1]. Et c’est un ironique contraste, si l’on se rappelle encore que M. Bourgetj dans cette curieuse étude qu’il publia, à vingt et un ans et au lendemain de nos désastres, sur le roman naturaliste et le roman piétiste[2], cherchant ce que serait le roman de l’avenir et quelles conditions il lui faudrait observer, faisait ingénuement du patriotisme la première de ces conditions.
M. Métenier, dans ses livres : la Chair, la Grâce, la Croix, Bohème bourgeoise, montre un réalisme net et cruel qui n’est