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claude[1], — et M. Taine[2], au temps qu’il faisait Graindorge à la Vie parisienne, et M. de Pontmartin, quand il fréquentait chez Mme Charbonneau[3]. Ils ont le piquant, le dégagé, l’à-propos, et ils s’appellent Aurélien Scholl[4], Pierre Véron, Émile Blavet[5]. Vous trouvez une fleur de grâce jusqu’en leurs pires débauches, et ils s’appellent Quatrelles ou Mouton-Mérinos[6]. Est-ce

  1. Cf. la série des Gaietés de l’année.
  2. Cf. Notes sur Paris.
  3. Cf. les Jeudis de Madame Charbonneau, Mes mémoires, etc. Dans le roman : Un filleul de Beaumarchais, Contes d’un planteur de choux, Entre chien et loup, etc.
  4. Cf. Fruits défendus, Paris aux cent coups, Le roman de Folette, l’Esprit du Boulevard, Paris en caleçon, etc.
  5. Cf. les recueils de La vie à Paris.
  6. Cf. l’Invalide à la tête de bois, Zoologie morale, etc., et dans le roman Fusil chargé et Chimère.