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la plus perfectible des races, en souillant son effigie de toutes les ordures morales comme de toutes les infirmités physiques » et l’autre qu’en tant que politique « soucieux d’apaiser les guerres intestines, il faut réprouver une littérature qui excite la rage idiote des plèbes, afin que ces pitoyables multitudes soient grugées dans la suite, au bénéfice de triomphateurs cupides » ? J’ai un peu de peine à le croire. Au reste, concède M. Adam, s’il est permis « aux gens du monde de flétrir pour ces motifs une œuvre, il messied aux littérateurs de reprendre un écrivain sur de telles raisons ». La réprobation de ceux-ci se justifiera par d’autres chefs, et d’abord par les ordures de M. Zola (M. Zola est évidemment ici pour naturalisme, une religion s’écroulant avec son dieu), par ses pro-