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LES
DERNIERS TEMPLIERS

Plus que les fantasias bruyantes dont nous fûmes régalés à l’arrivée, plus que les pétarades des hommes, les you ! you ! stridents des femmes, l’aigre et ronflante bourrasque des raïtas, des garbags, des reggis, des tamstams et des derboukas, instruments périmés ailleurs qu’au désert, plus que le défilé des bassours aux étoffes somptueuses, balançant, comme des