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champs, constata qu’il lui manquait un jars. L’événement, je m’empresse de le dire, ne l’étonna pas outre mesure : il rôdait force renards à cette époque autour des poulaillers de Kerguignou — sans parler, quand l’occasion s’en présentait, du renard à deux pattes qui avait nom Bobinet.