APPENDICE
I. Nous avions appelé sur le calvaire de Kergrist-Moëlou la bienveillante attention de M. Roujon, l’éminent Directeur des Beaux-Arts, à qui la Bretagne ne saurait être trop reconnaissante des nombreuses marques de sympathie qu’il lui a prodiguées. M. Roujon nous répondit à la date du 2 août 1902 :
« Vous avez bien voulu appeler mon attention sur le calvaire de Kergrist-Moëlou, dont vous me signalez l’intérêt artistique et l’état de ruines.
« J’ai immédiatement invité l’architecte chargé de la conservation des monuments historiques de la région de visiter ce calvaire et de me mettre à même, en m’adressant soit des photographies, soit un relevé, de faire étudier la question de son classement parmi les monuments historiques.
« Recevez, etc.
Espérons que le rapport de l’architecte sera favorable au classement du calvaire de Kergrist-Moêlou et que ce beau spécimen de l’architecture et de la statuaire indigène, relevé de ses ruines, reprendra bien-