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agressive qu’il avait prise vis-à-vis du pouvoir, qu’il fit en sorte de dissiper les dernières équivoques et d’imposer aux plus défiants la conviction de sa sincérité. Restreinte au seul domaine de la conscience, son action resterait encore assez belle et garderait de quoi l’occuper. Mais il a une tâche plus noble à remplir. Du jour que son rôle politique est fini, son rôle social doit commencer : cette triste Bretagne, noyée d’alcoolisme, malade, s’il se penchait sur elle, pourrait encore guérir. Voilà une grande œuvre à tenter, un apostolat qui vaudrait les plus beaux, ce sauvetage d’une race dont les jours sont comptés et qui glisse peu à peu du rêve à l’hébétude, de l’hébétude au suicide.