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plus possible à notre livre son caractère de traité pratique, d’abrégé, nous avons cru, et dans l’intérêt même de la méthode, devoir étendre davantage deux ou trois chapitres auxquels l’étal antérieur de nos connaissances ne nous avait pas permis d’apporter toute la précision désirable. Ainsi les chapitres sur la valeur des syllabes et sur la césure. D’autre part, nous avons élevé de 20 à 30 les modèles de devoirs qui se trouvent à la fin du livre. Nous savions, par expérience, que ce n’était point, de tout le livre, l’innovation que nos collègues de l’enseignement secondaire avaient le moins bien accueillie.

Janvier 1893.

PRÉFACE DE LA TROISIÈME ÉDITION


Quelques modifications ont été apportées à la troisième édition de ce livre, et, parmi les additions, une brève étude sur le vers libre[1] tel qu’il est pratiqué dans les nouvelles écoles. Sur le plus ou moins d’utilité de cette étude, nous nous contenterons de faire observer que la question du vers libre, chez les classiques et les contemporains, a été posée à diverses reprises dans les examens.

Octobre 1896.
  1. V. pages 81 et 132.