droit lui plût davantage.
Il entra donc dans le labyrinthe du Code et mit quatre ans pour en sortir, et, au bout de quatre ans, ayant d’autre part échoué à ses examens, il fit cette découverte qu’il n’était pas fait pour la chicane et que l’apothicairerie, peut-être aussi bien l’art vétérinaire lui eussent convenu davantage. Malheureusement, il était trop tard.
Le père Lacombe, malcontent d’avoir vu fuir ses écus et revenir à leur place un fruit sec de collège, le tança d’importance. Il n’était pas disposé à se saigner les veines davantage pour un fainéant. Ce fainéant reçut la mercuriale sans oser riposter que lui-même ne se sentait pas le courage de tenter la chance l’année suivante.
Ses incertitudes sur la voie où s’engager, à vingt-deux ans, étaient si grandes, qu’il fût demeuré volontiers à la ferme, qu’il eût poussé la herse et hoyau ou manœuvré l’aiguillon, comme il voyait faire autour de lui. Mais on lui montra qu’on s’était jusque-là