de lancer ta langue dans sa bouche comme un
dard, la faisant frétiller sous la sienne tandis
que tu remueras du cul brusquement tu l’enlaceras
autour de lui des bras et des jambes en appuyant
ta main sur ses fesses, tu avanceras tes
doigts jusqu’à ses balloches et poussant toujours
du croupion tu tacheras de faire entrer le membre
le plus avant que tu pourras, quant au reste
de la besogne tu la feras aussi bien que moi.
— Ma cousine je vous remercie de tant de bonté, dit Fanchette, je ne manquerai pas de profiter de vos leçons quand je serai en état de le faire, mais pour le présent il faut un peu laisser passer le mauvais temps et attendre celui à qui je pourrai donner toutes les marques de mon affection.
— Oh ! bien, arrive quand il pourra, reprit Suzanne, mais apprends que c’est la faute ordinaire des jeunes gens qui ne songent à rien qu’au temps présent et ne pensent pas à ménager leurs plaisirs pour les faire durer plus longtemps, mais enfin ne peux-tu voir Robinet quand tu veux ?
— Nenni, ma cousine, car depuis quinze jours que ma mère a fait porter mon lit dans sa chambre je n’ai presque pu le voir qu’en sa présence.
— Eh ! ma pauvre enfant, comment as-tu fait