façon lui plaisait mieux que les autres, attendu
que c’était ainsi qu’il avait eu son pucelage et
que son membre entrait plus avant.
Après quelques moments de repos, il recommença ses caresses, lui fit toucher son engin, lui mania la motte, fourra son doigt dans son vagin, tantôt l’enfonçant, tantôt le retirant, ce qui causait à Fanchette un chatouillement délicieux. Elle se penchait sur lui, elle le baisait, elle lui serrait doucement le membre, promenant sa main du haut en bas. Elle sentit qu’il était extrêmement raide, et elle souhaitait de le voir placé ailleurs. Robinet, enflammé par ses attouchements, se leva, la coucha sur le lit, mit ses deux jambes sur ses épaules, l’enfila avec fureur, et précipitant leurs mouvements, ils répandirent tous deux à la fois la liqueur amoureuse.
Cela faisait quatre fois, mais c’était un premier abord, et Robinet ne pouvait moins faire pour donner à Fanchette des marques de son amour. Cependant, la nuit s’approchait, et comme c’était l’heure où la mère de la jeune fille devait rentrer, Robinet prit tendrement congé de son amie lui promettant de revenir souvent jouir du doux passe-temps que cette heureuse journée leur avait procuré.