chemise, il fit tant qu’il parvint à lui toucher les
fesses, qu’il trouva fermes et rebondies ; de l’autre
qu’il avait libre, il lui prit la sienne et la
porta sur sa brayette. Fanchette posa les doigts à
l’endroit de l’enflure ; elle sentit que l’engin du
jeune homme était dur et se poussait en avant
contre sa main. Robinet, voyant qu’elle n’en témoignait
aucun ressentiment, se déboutonna, et
fourrant la main de la jeune fille dedans, il lui
dit : touche, m’amour, touche, mon cœur. Fanchette,
voyant qu’il était bien aise qu’elle touchât,
fit ce qu’il voulut et se laissa doucement
aller pour le satisfaire ; il semblait qu’il dût mourir
d’aise à chaque attouchement, car tantôt il lui
disait, en conduisant sa main : touche ici, puis
là, plus bas, aux couillons ; ma mie, sens-tu les
poils ? reviens ici, empoigne et frotte partout.
Lui faisant ensuite tirer son engin hors de la brayette, il lui dit : je veux que tu le voies. Fanchette fut étonnée de sa forme et de sa grosseur ; il s’aperçut de sa surprise : tu ne sais pas encore où il faut que cela entre ? cependant, tu as un endroit propre à le recevoir. Alors, s’émancipant tout d’un coup, il lui troussa la chemise, lui découvrit le ventre et les fesses, les mania à plu-