jeune homme une grosse enflure qui grossissait
et tâchait de sortir. Elle songea aussitôt à cet engin
qui sert aux hommes pour pisser, comme le
lui avait appris sa cousine, et avec lequel elle
devait avoir tant de plaisir. Elle se souvint alors
qu’en entrant dans la chambre Robinet ne l’avait
pas encore comme cela ; elle se douta bien d’après
cela que le jeune homme passerait outre et qu’ils
feraient quelque chose ensemble. C’est pourquoi
elle se leva pour aller fermer la porte, de peur
qu’ils ne fussent surpris par la servante, qui était
peu éloignée ; il lui demanda où elle allait, et
ayant eu de la peine à la laisser aller, elle vit
qu’il ajustait son engin dans sa culotte. Elle descendit
pour donner de l’occupation à la servante
afin que par quelqu’importunité elle ne vînt interrompre
leur plaisir. Ainsi rassurée, elle revint
et alla droit à lui ; il lui sauta au cou dès qu’il la
vit et ne voulut point la laisser asseoir sur le lit
comme auparavant, mais il la tira debout entre
ses jambes ; là, la serrant de toutes ses forces, elle
crut d’abord qu’il la voulait étouffer ; elle lui en
dit sa pensée ; il lui répondit : c’est que je t’aime,
mon cœur ; la caressant ainsi, il fourra la main
dans la fente de sa jupe, et tirant peu à peu sa
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