et remue du derrière jusqu’à ce que son sperme
tout brûlant me coule au fond de la matrice.
— Qu’est-ce que c’est que du sperme, ma cousine ?
— C’est la liqueur blanche et épaisse que nous répandons dans l’action et dont je t’ai déjà parlé ; on l’appelle aussi semence, et plus communément foutre.
— Vous êtes donc bien aise quand vous recevez cette semence dans votre affaire ?
— Je suis au comble du bonheur. Or, il y a diverses manières de faire entrer l’engin dans le trou mignon, ainsi que je l’ai expérimenté avec lui ; car il m’enfile tantôt dessous, tantôt dessus, tantôt de côté, tantôt de travers, tantôt à genoux, par devant et par derrière, comme si je prenais un lavement, tantôt debout ; quelquefois quand il est pressé, il me jette sur un coffre, sur une chaise, sur un matelas, enfin, au premier endroit qui lui paraît propice, et chaque fois il y trouve un plaisir différent, car son membre entre plus ou moins et est disposé autrement dans mon trou velu, selon les postures qu’il me fait prendre. La peine a quelquefois sous ce rapport ses agréments ; nous nous voyons de jour étant seuls ;