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dresse et semble vouloir se détacher du reste du membre, mais le garçon n’éprouve de tout cela aucune douleur ; au contraire, il est si aise qu’il ne peut parler ; il pousse seulement le cul en avant afin que la fille continue toujours ; mais s’il se voit monté par celle qu’il devrait monter lui-même, c’est alors qu’il est au comble du bonheur et qu’il éprouve autant de plaisir que s’il déchargeait continuellement.

— Certes, ma cousine, voilà bien des sortes de plaisirs ; je ne sais si je pourrai les retenir toutes. Comment fait donc la fille pour monter sur le garçon et lui faire tant de plaisir ?

— Il se couche à la renverse ; alors la fille l’enfourche jambe de ci jambe de là et se remue dessus lui.

— Oh ! oh ! voilà encore une autre façon, et l’on fait donc ce doux jeu en bien des positions ? demanda Fanchette.

— En plus de cent.

— Et on prend plaisir à toutes ?

— À toutes, mais tu sauras cela plus tard.

— Et pourquoi donc, ma cousine, dit encore la petite curieuse, le garçon a-t-il plus de plaisir quand il est monté par la fille que quand il la monte lui-même ?