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avons au bas du ventre. Pour la fille, je ne sais comment elle est faite intérieurement, mais on dit qu’elle a un engin fait comme celui du garçon. Or, voici ce qui arrive : quand la fille reçoit l’affaire de l’homme dans la sienne, la peau du dard se rebrousse et a de la peine à entrer. Le garçon poussant toujours des fesses y introduit d’abord la tête, et le membre qui est poussé dans la panoufle de la fille fait que la peau qui lui couvre la tête vient à frotter par-dessus contre le tuyau, qu’on appelle clitoris, à mesure que le garçon pousse et retire le cul pour le faire entrer ; la fille, qui ressent le frottement que la peau et l’engin du garçon lui font dans son affaire, y joint ses mouvements. Enfin, à force de frotter et de remuer les fesses de part et d’autre, il arrive que tous deux viennent à s’échauffer et sentent une démangeaison et un chatouillement le long de leurs conduits, qui les oblige à frotter plus fort et à remuer plus vite les fesses. Alors le chatouillement augmente et par conséquent le plaisir, lequel devient si grand peu à peu qu’enfin ils en soupirent d’aise et ne peuvent parler que par élans ; ils clignotent des yeux et semblent expirer en s’embrassant de plus en plus ; alors le cha-