cées d’en agir ainsi car l’éjaculation de la semence
étant naturelle comme le manger et le boire, à
peine ont-elles passé quinze ans qu’elles ne sont
plus dans l’innocence et il faut bien qu’elles se
servent de quelque moyen pour apaiser leur chaleur
et soulager la nature vitale. Celles qui ont
des amis et qui craignent la grossesse, se contentent
de les baiser et toucher ; elles souffrent aussi
d’être baisées et touchées, même leur ami
leur manie les tetons, les cuisses, les fesses, la
motte, en un mot toutes les parties du corps ; elles
les laissent décharger entre les cuisses, entre les
fesses, entre les tetons ou dans la main ; quelquefois
elles leur permettent de placer leur membre
à l’entrée de leur nature et le retirent aussitôt
qu’elles sentent la semence prête à couler pour
s’en graisser le bas du ventre ; dans d’autres moments
elles se font gratter doucement avec les
doigts entre les babines de leur bijou, les serrant
et les écartant, tandis qu’elles caressent leur ami,
le baisent et badinent de même avec son dard entre
les mains.
— Certes, ma cousine, dit Fanchette, il faut avoir un grand empire sur soi-même pour sentir un engin si près de sa motte sans le faire entrer tout-à-fait.