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tion, à ce point de vue, que pour la première sourate, qui est une prière.

Quant aux sourates 112, 113 et 114, qui terminent la collection, la première, sur l’unité de Dieu, est une profession de foi musulmane, et les deux autres sont des formules finales de l’œuvre tout entière, revêtant la même forme de langage, et ayant toutes deux aussi le caractère de prières[1].



  1. Voy. sur le Coran d’Othmân Nöldeke, ouvrage cité, t. II, p. 47 ss.