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LA GUITTARE.


Il y avait un quart-d’heure que je me promenais sur la terrasse ; l’élixir aphrodisiaque commençait à agir, et me rendait insuportable le plus léger retard ; enfin, j’entends les sons ravissans de la guittare, en deux sauts je fus sous la croisée d’où partaient les sons de cette douce harmonie, une femme tousse, j’approche, ce n’était plus la même conductrice ; elle dit à voix basse, Rosalba. Je reconnus le mot du guet, je réponds, Divine. Elle me fait monter dans la chambre où était celle qui faisait raisonner la guittare ; je vis une femme charmante, non moins belle que Divine…… je fus frappé de sa beauté ; je restai immobile de surprise. — Ah ! je ne croyais ne