vous des prodiges pour cette nuit :
voici une essence qu’il faut prendre à
l’instant de partir, elle est de la composition
de Cagliostro ; ne craignez
rien, jeune Athlète, cette huile sacrée,
doit chez tous augmenter tous
les feux de l’amour, doubler, tripler
votre force, et par un heureux miracle
vous élever au-dessus de la sphère
commune, et faire de vous un dieu ;
trouvez-vous ce soir sut la terrasse du
château, vous entendrez une guittare,
on pincera dessus l’air : Sentir avec ardeur,
ce sera le signal : vous approcherez
de l’endroit d’où partirons
les sons, et l’amour fera le reste.
Adieu, reposez-vous, et sur-tout ménagez
vos riches dispositions. Je voulus
l’embrasser. Arrêtez : il n’est pas
tems encore, me dit-elle… Un jour
peut-être… Elle sortit.