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lui fis mes adieux, et vingt fois je retournai
dans ses bras ; enfin soit que
l’amour exigeât encore un sacrifice,
soit que sur le sein de Divine je
puisasse une nouvelle vigueur, tiens
Divine, m’écriai-je, vois la puissance
de tes charmes, tes beaux yeux
animeraient le marbre, jouis de ton
ouvrage, et de même que nous offrons
aux dieux les dons que nous tenons
de leur bienfaisance, de même je te
fais hommage de ce que tu viens de
faire naître. Bientôt j’eus placé mon
offrande dans le sanctuaire de la volupté ;
nos soupirs confondus furent l’encens
que nous offrîmes au dieu dont nous
célébrions les mystères : non, on ne
peut que sentir, et l’on ne peut décrire
ce que nous éprouvâmes.
Les sacrifices achevés, je voulus