Page:Le Braz - Le gardien du feu, 1909.djvu/28

Cette page n’a pas encore été corrigée

Rien à signaler, mon ingénieur, du moins pour ce qui est du service. Le baromètre est sur « variable » ; il souffle grande brise de noroît. Ce matin, après l’extinction du feu, j’ai monté mon matelas dans la lanterne, ainsi que des provisions de bouche pour plusieurs jours. Car, d’ici quelque temps, je ne me soucie pas de redescendre. Comme je passais sur le palier du deuxième étage, devant la porte de leur chambre, — de leur tombe, — je l’ai entendue, elle, qui disait à l’autre :