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    tre, — et c’est dans son lit qu’il l’a mise !… — Si vous ne m’en croyez, allez-y voir. »

    Le pauvre mari, à cette nouvelle, — furieux, à la chambre monta. Quand il eut constaté que la chose était vraie, — lui d’interpeller son fils prêtre, alors :

    — « Dites-moi, mon fils prêtre, — à quoi donc pensez-vous ? — Il ne me semble pas que vous ayez agi — d’une façon convenable, pour un homme de votre sorte ! »

    Par la vertu de son oraison, — le fils amollit le cœur de son père. — « Taisez-vous, mon père, dit-il, — c’est pour Dieu que je l’ai fait.

    « Laissez dire à ma marâtre — ce qui lui fera plaisir. — Celui qui loge sera logé. — Il n’est qu’un devoir, c’est de faire le bien. »

    Voilà notre homme radouci — par les paroles de son fils prêtre. — Il redescendit au plus vite — sans ajouter un seul mot qui fût déplacé.

    V

    Quand fut venue la prime aube, — la pauvre femme se leva en hâte, — et se dévêtit de ses hardes — pour les rendre à sa fille, avec gratitude.

    Le prêtre à sa sœur dit : — « Ce ne sont pas les hardes qui vous manquent, je le sais ; — vous pouvez abandonner celles que voici — à cette pauvre femme, pour l’amour de Dieu. »

    La fille qui avait bon cœur, — tout autant que le fils prêtre, — dit à sa mère, alors : — « Vous pouvez garder les hardes que voilà. »

    Elle, donc, de les remercier — et de demander à son fils — s’il aurait la bonté — de faire en sorte qu’elle pût ce jour-là se confesser.

    — « Oui, dit-il, je ferai cela pour vous. — Si j’en avais eu le droit, je vous eusse confessée moi-même. — Quand viendront les prêtres à l’église, — je vous ferai certainement confesser par l’un d’eux.

    « Vous pourrez vous confesser et communier. — Vous déjeû-