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)9, note, 1. 7. Cette coutume existait à Loguivy, d’après Jollivet, Les Côtes du Nord, t. IV, p. 46.

rO, note 1. Dans les Hébrides, la veille de la Toussaint, on

euse dans le sol un petit trou de la dimension d’une soucoupe, puis on y remet la terre qu’on en a enlevée et, le lendemain matin, on le vide. Si on y trouve un ver mort, c’est signe que la fin de la vie est proche ; si le ver est vivant, c’est qu’on vivra encore à la Toussaint suivante (Goodrich-Freer,

More folklore from the Hébrides, Folklore, t. XIII, p. 54).

[19,1. 27, au lieu de Dutrot, lireDrwio^.

124, 1. 24, ajouter en note : en Irlande, si une femme mariée

larche sur des tombes, son enfant aura un pied bot (lady

^ilde, Ancient legends, p. 205). Si on butte contre une tombe

t que l'on glisse à terre, on mourra avant la fin de l’année

6id.,p.83).

[37, note, 1. 1 : Cf. Goodrich-Freer, More folklore from the

ebridesy Folklore, t. XIII, p. 52.

55, nolel, 1. 13 : Cf. Goodrich-Freer, More folklore from the

ebrides, Folklore, t. XIII, p. 60.

73, note, 1. 3, au lieu de Isrish, lire Irish.

25, note 1. Un morceau du drap qui a enveloppé un cadavre

lérit le mal de tête et l’enflure, si on l’attache autour de la

irtie malade (lady Wilde, Ancient legends,ip, 82).

52, note. Sur les rites funéraires des anciens Bretons, voir

. de la Borderie, Histoire de Bretagne, t. II, p. 288-289.

59, note 1. Sur le fondement historique de cette légende, voir

. de la Borderie, Histoire de Bretagne, t. II, p. 505-507.

!32, 1. 17, en note à pignon : Cf. ci-dessus, p. 292, note.


TOME II


>0,1. 19 ; 92, 1,10, au lieu de Hamon, lire Mingam. 28, 1. 6, 11, au lieu de Saint-Gervais, lire Saint-Servais, 50, 1. 19, en note à feu : en breton paket ameushezan d’ezhi.

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