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— A IsG*. î-t-^l*. ÇTiôrac ;e ae tc-^prane rien à T>f SE-is^-tr-et ei 'i^lrs* ^iit ç^* j* ! :* ifètre chez ii&o ;, f' ;I r aea&^re ç :i-eLrae ciiise ta çT :c*i je paisse rs>* *rfrir, parî-ez.

— Eu bl^a ! réjy>ai :l-îl, iDeii«i-m>i jasqa^aa ci-DïeLere de Siînl'Sicrear-

Aa ç-œeîlêrc- ! A par^-île hesre !... llaiie-Job fat ftor le fxiial de rép.i^aer qn'aTeclôal son booTOoloir eile ne pouvait pas £aire cela poar loi, mais Mogis ne lui en laissa pas le temps. Comme s'il eût entendu la phras^^ du vieux petit homme, il s'engagea sur la gauche, dans le chemin de Saint-Saavenr. Marie-Job ne savait plus que penser. Quand ils arrivèrent auprès de Tenclos des morts, la grille, contrairement à i*usage, était ouverte. L'étrange pèlerin eut un cri de satisfaction.

— Vous voyez que je suis attendu, dit-il. Ce n'est, en vérité, pas trop tôt.

Kt^ retrouvant une vigueur qu'on ne lui eût jamais soupçonnée, il sauta presque légèrement à terre.

— Tant mieux donc, dit Marie-Job en s'apprêtant & prondre congé.

Mais elle n'était pas au terme de son aventure, car & peine eut-elle ajouté, comme il convient : « Au revoir jusqu'à une autre fois », que le vieux petit homme repartit :

— Non pas, 8*11 vous plaît !... Puisque vous m'avez accompagné on ce lieu, vous n'êtes plus libre de vous on aller avant que j'ai parachevé ma tâche, sinon, le