Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 2 1902.djvu/168

Cette page n’a pas encore été corrigée



que de cela parmi les geas du bourg. Gamm ar Gu-luch, averti, fil le serment de ne plus quitter la maison^ et sa nouvelle femmci de dépit, cessa également de se montrer aux assemblées. Mais aussitôt l'enfant commença à dépérir. Et, au bout d'un mois, sa mère morte ne venant plus auprès d'elle, ce fut elle qui alla la rejoindre dans l'autre monde.

(Conté par Lise Bellec. — Port-Blanc.)