Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 1 1902.djvu/423

Cette page n’a pas encore été corrigée


— Regarde ! dit-il.

Et, comme le diable ne paraissait pas comprendre, il ajouta :

— Tu as sans doute vu l'intérieur de bien des pommes, mais l'intérieur de celle-ci, tu ne l'avais certainement pas encore vu !

Le démon demeura penaud  ; il dut s'avouer vaincu, et Tadik-Coz rentra dans son presbytère de Bégard en se frottant joyeusement les mains.

(Conté par Naïc Fulup, du Hinger-Vihan, en Pédernek, 1889.)