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COULEUR DU TEMPS

sur ses mains. En bas, il saisit le bouton, et remonte de la même façon discrète, comme un enfant qui joue. Têtu, il offre une dernière fois sa trouvaille à Rabidibidoux ; l’autre, également têtu, une nouvelle fois la refuse. Tit’Laire finalement l’empoche. Il l’a bien gagnée.

En ce moment, le prêtre qui finissait son sermon dit : « ainsi soit-il ». Tit’Laire et Rabidibidoux se regardent ; Tit’Laire remet en jeu le mécanisme de ses rides ; ils échangent un sourire entendu et gouailleur : si monsieur le curé pense qu’il leur en a… remontré !