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V

LE DÉPART

 Souvent pour saluer l’aurore virginale
L’alouette a redit sa chanson matinale ;
Et le soleil couchant, de ses reflets pourprés
A souvent revêtu les ondes et les prés.
Le port de Saint-Malo luit comme une topaze ;
Le rapide alcyon d’une aile agile rase