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LE BAISER FATAL

C’était Henriette la folle ! Elle avait cherché là un refuge contre l’orage, elle trouva la mort, le seul refuge contre les désespérances de la vie.

Célestin sentit, cette fois, sa raison chanceler.

Il erre tristement en ces lieux où naguère il étalait ses richesses et sa félicité. Il mourra bientôt. Peut-être ne sera-t-il plus demain.

Décidément j’ai eu tort de l’appeler chanceux.