Page:LeMay - Contes vrais, 1907.djvu/597

Cette page a été validée par deux contributeurs.
553
UN RÊVE

entré, s’ouvrit de nouveau, et le doigt implacable me fit signe de sortir.

Je poussai un sanglot et… m’éveillai.

La grive solitaire chantait encore au-dessus de ma tête, en regardant les flammes du couchant ; un souffle tiède passait sur mon front brûlant, et mes esprits revenaient je ne sais d’où.