Page:LeMay - Contes vrais, 1907.djvu/401

Cette page a été validée par deux contributeurs.
371
LE COUP DE FOURCHE

Un cri d’horreur s’éleva, et tout le monde se prosterna devant le calvaire. Le prêtre ajouta :

— Au même instant et de la même façon l’impie a été frappé.

Toutes les mains se tendirent vers le Christ outragé, et toutes les bouches crièrent :

Pardon ! pardon ! pardon !