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lique. Les travers qu’il a notés, les difformités intellectuelles et sentimentales qu’il a cataloguées ne lui ont peut-être pas donné uniquement un plaisir d’artiste. J’imagine qu’il en a ri pour n’en point pleurer, et, sous son rire, on devine une tristesse douce, une tristesse prête à se railler, cette tristesse qui est au fond de l’âme de Philinte et que la bonhomie et le rire dissimulent moins qu’ils ne la parent.