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flet ordinaire à main: la coupellatîou de cette manière fe fait avec une grande facilité, 8: à ce qniil paroît , avec beaucoup d’exaélir.ude.

§. III.

Des mzy/ens d’augme1ztar canfdâaâknzenz Faôîiara du fèu , en fzëfizzzarzt Ze gag oxygène à Fair de l’armz#»/Ière. ‘

On a obtenu avec les grands verres ardens qui ont été coullruîts §ul`qu’à ce jour, tels que €«‘Jl2X de Tchirnarzfen & celui de M. de. Trudaine , une imenlité cle chaleur uu peu plus grande que celle qui a lieu dans les fourneaux chimiques, Sc mêmetlans les Fours ou Pon cui; la porcelaine dure. Mais ces iuflrumens i"<$à«l:` extrêmement chers , 8;. ils 11e vom pas même }ul`qu’à foudre la platine brute; en nforce que leur avantage, relativement à Peûèr qu’ils pro- duifent, n’eIl prefque dïaucune coulidératiou , 8: qu’îl efl plus que compeufë parla difïrculte de fe les procurer 8: même d’en faire ufage.

Les miroirs concaves à diamètre égal font un peu plus d’effet que les verres ardens ; on en a la preuve par les experiences faites par MM. Masquer & Baume, avec le miroir de M. l’Abbe Bouriot mais comme la direction des rayons réfléchis est de bas en haut, il faut opérer en l'air & fans Rxppcrt ; ce qui rend