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5*32 Dârounrxow mr Snrrêrns. des moyens particuliers que je vais indiquer. On place la cloche fur le bain de mercure; · gn pafïe par-deilbus un liphon de verre don: on Z1 adapté l’extrémité extérieure à une pe- tite pompe pneumatique : on fait jouer le piflon , 8: on élève le mercure jufqvfau haut de la cloche. L0rfqu’elle ell ainii remplie , on y fait palier le gaz de la détonation de la même manière que dans une cloche qui feroit remplie d’eau. Mais , je le répète, ce genre d’expériences exige les plus grandes pré- cautions. Tai vu quelquefois, quand le déga-· É ‘ gement du gaz étoit trop rapide , des cloche; pleines de mercure pefant plus de 150 livres, s’enlever parla force de Pexplofion : le mer- cure ja.illiH`oit au loin, & la cloche étoit brifée en un grand nombre d’éclats. Lorlique Pexpérieuce et rêufïi & que le gaz ' ell railemblé Tous la cloche , on en détermine le volume comme je l’ai indiqué pages 361 8: 562. On y introduit enfuite uu peu d’eau , depuis la p0taii`e difibute dans Peau 8: dépouillée d’acide carbonique, & on parvient à en faire une analyfe rigoureulie, comme je l’21i enfei- gné pages 36; 8: [uivantes. Il me tarde d’av0ir mis la dernière main aux expériences que j’ai commencées iiir les détqnations , parce qu’elles.ont un rapport