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DE LA Dâromarxou. yz; de gaz; qu’il entroic, par exemple, avec pref`- que tout (bn calorique dans la conibinailon qui forme Pacide nitrique_& dans celle qui forme Pacide muriatique oxygène; enlorte que l’oxy- gène dans le nitre & (ur-tout dans le muriate oxygène, étoit jul`qu’a un certain point dans l’état de gaz oxygène coudenlé 8: réduit au V plus petit volume qu’il puîfïe occuper. Le calorique dans ces combinaifons exerce un elïort continuel fur Yoxygène , pour le [`RIDE- ner à Pétat de gaz: Poxigène en conféqueucc y tient peu; la moindre Force Iuüït pour lui rendre la liberté , & il reparoît fouvem dans un inihmt prelque iudiviiible dans]’état de gaz. C’ei`t ce paflàge brulque de l’état concret à l’état aériforme qu’on a nommé détouation, parce qu’en clïet il el} ordinairement accompagnédc: A A bruit 5: de fracas. Le plus comrmmément ces détonations s’opèrent par la combinaîlon du charbon , foit avec le nitre , Foi: avec le mu- riate oxygéné. Quelquefois pour faciliter encore l’inHamniation, ou y ajoute du foufre; 8: dell · ce melange fait dans de julles proportions & avec des manipulations convenables , qui conil titue la poudre à canon. Uoxygène par la détonatîon avec le charbon change de nature,`& il fe convertit en acide carbonique. Ce n’e(I donc pas du gaz oxygène