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gaz COMBUSIION ne L,A.LKOOL· avoit même été favorîfëe par la hauteur cle la · culonne de mercure que favois élevée en EF`, _ giancize IP',f,g·. 3. En conféquence, au mo- ment ou je voulus- allumer le petit morceau de phcfphore Br la lampe avec le fer rouge,il le tit une détonation violente qui enleva la cloche 3: qui la brilà en mille pièces contre le plau- cher du laboratoire. Il rélulre de 1·rmP¤u;n1aé ou l’0n eil d°0pére1: dans du gaz oxygène , qu’0n ne peut brûler par ce moyen que de très-petites quantités d’all:00l, de 10 â 12 grains par exem- ple , 8c` les erreurs qu"0n peut commettre [ur ci’auHî petites quantités , ne permettent cle pren! dre aucune confiance dans les réfultats. J’ai eîüzyè dans les expériences dom j’ai rendu. compte à l’Acaclémie ( Voy. Mem,. Amd. amzéc 1784, pag. 59;) de prolonger la durée de la combuflîon , en allumant la lampe d’all·:ool dans l’air ordinaire, & en refourniîlant enluite du gaz oxygène fous la cloche à melure qu’il s’e¤ étoit confommég mais le gaz acide carbonique qui le Forme met obflacle â la combulliou , d’autant plus que l’allto©l ell peu combullible -3: qu’il brûle difiicilemetit dans de Pair moins bon que Pair commun; ou ne peut donc en- core brûler de cette manière que de très-petites quantités d`alk00l. · Ft-zut -«€tr€ cette combufliou rëufliruit - elle