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COMBUSTION DES HUILES. plus diamètre en BC , & laiH`e eutrlelle & les parois du bocal un intervalle ou rigole xxxx, qu’on remplit de mercure: le couvercle repréfemé fg. 5 , a de lon côté eufg une virole de fer qui fajuüe dans la rigole xxxx du bo- cal, 8: qui plonge dans le mercure. Le bocal A ` È peut par ce mOy€¤ fe f€l'm6Iî en un inflaut lier- métiquement & lans lut; 8: comme la rigole peut contenir une hauteur de mercure de deux pouces, on voit qu’on peut faire éprouver à l’air contenu dans le bocal une prellion de plus de deux pieds d’eau , [aus rifquer qulelle furmome la rélillance du mercure. Le couvercle , fig. 5 ,' ell percé de quatre trous cleflinés au pallage d’un égal nombre de tuyaux. Uouverture T ell cl’abord garnie d’une boëte à cuir à travers laquelle doit pa1`l`er la. tige repréfentée fig 3. Cette tige ell dellîuée â remonter ou â defcettdre la mêche de la lampe, comme je Pexpliquerai ci~après ; les trois autres trous /2, E, Ã, font dellinés, favoîr , le premier au pallage du tuyau qui doit amener Phuile , le lecoud au pallage du tuyau qui doit amener l’air ‘ . à la lampe pour entretenir la combuflion , le troiliéme au pallage du tuyau qui doit donner iflue à ce même air lori`qu’îl a Iervi à la com- bullîon. La lampe cleilinée à brûler Phuile dans le