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ig:} COMBUSTION DU PHOSPHORE ~ Lorlque la capllule D , planche IV , fg. 3 , ell introduite (ous la cloche , on luce une par- ` tie du gaz oxygène qtfelle contient pour élever le mercure jufcpfen EF. Sans cette précaution; clès que le corps combuîhble (croît allumé , la chaleur dîlateroit Pair; elle en Feroît palier une portion par-deH`o~us la cloche , 8: on ne pour- roit plus faire aucun calcul e:»;a& (ur les quan- tîtés. Ou le fert , pour lhcer Pair, cl’1m lî· phou GHI, qu’on paH`c par-deflbus la cloche; 6: pour quïil ne s’empliH`e pas de mercure, on tortille à fon extrêmiré I tm petit morceau de papier. Il y a un art pour élever aînîî en Ihçaut une _ colonne de mercure à une hauteur de plulîeurs pouces :1u—dellî1s de fon niveau: li on le con- teutoît d’alpîrer l’a~îr avec le poumon , on n’at- ‘ teîndroît cpfà une très-médiocre élévation., par exemple , d’un pouce ou d’tm pouce & demi tout au plus; encore ¤`y parviendmît-ou qtfavec de grands eilorts; tandis que par Paëliou des mulcles de la bouche on peut élever làus le fatigxer , ou au moins 1'ans_ rîfquer de`s’inc©m- moder, le mercure ju(`qu’à Ex à fept pouces. Un moyen plus commode encore ell de le fervîr d’ur1e petite pompe que Pou adapte au Gphon GHI : ou élère alors le mercure à telle hauteur garou le luge à propos, pourvu qu’elleu’excède pas 2S pouces. " `