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458 Des Drssowtrxous mârarzrqvzs. 5. II. Des Diylnlutiozzs ttzâalljgucs. Pai déja fait femir lorfque fai parlé de la folution des (els dans Peau, combien il exiîloit, de cliH`érence entre cette opération 8: la diïl`o- Iution métallique. On a vu que la folution des fels u’exige0it aucun appareil particulier, 8: que tout vafe y étoit propre. Il n’en ell pas de même de la dillolurion des métaux; pour ne rien perdre dans cette dernière, Bc pour obte-· nir des rélultats vrainient concluans, il faut employer des appareils très-compliqués , 8: dont Piuvemion appartient abfolument aux chimilles de notre âge. Les métaux en général fe dillolvcnt avec eïervelcence dans les acides; or Pelle: auquel on a donné le nom cl’eHerve(cence n’ell autre cbole qu’un mouvement excité dans la liqueur dilïolvante par le dégageuient d’un grand non:— bre de bulles d’aî·r ou cle fluide aériforme qui partent de la lixrface du méral , 8: qui crèveut en fortant de la liqueur dillolvamte. V M. Cavendish 8: M. Priefsley fon: les pre- miers qui aient; imagine des appareils Iimples pour recueillir ces fluides elalliques. Celui de · M. Prieflley conlifle en une bouteilleà , pl. I/II,